Si YDNU était un animal, ce serait : le Saint-Bernard
Il aide les clients PME à s’en sortir dans la tempête de neige que subit la chaîne de montagnes des mondes digitaux. Le Saint-Bernard YDNU est rassurant, il porte assistance et aide à s’en sortir. C’est une force tranquille qui reste alerte.
Si YDNU était une chanson ce serait : Somewhere in time d’Iron MAIDEN
Une pure chanson Rock avec une liberté d’esprit. Cette chanson incarne pour nous l’indépendance vis-à-vis des
outils et la capacité à dire non avec le souci de garder l’objectivité par rapport aux besoins des clients. Cette chanson a un tempo, elle bouge, elle
est rythmée, électrique, et symbolise le fait qu’il est nécessaire de rester en mouvement, de s’ouvrir à de nouvelles choses et d’intégrer de nouveaux savoirs. Le titre dit aussi que rien n’est fixé, que l’on prend en compte l’environnement, qu’on est “somewhere in time”, là, à un endroit, à un moment donné et on porte toute notre attention au client.
Si YDNU était une plante, ce serait : entre le bambou et la vigne vierge
C’est à dire plutôt balaise des racines, qui symbolise un engagement et des convictions contextuelles. Par ailleurs, Le bambou est souple et flexible et peut être utilisé pour fabriquer beaucoup de choses (flûte, sarbacane, plats, constructions…). C’est une ressource. La vigne vierge protège quant à elle les habitations du froid et de la pluie, elle ondoie au vent et évolue avec les saisons. Elle habille sans abîmer.
Si YDNU était un sport ce serait : la course auto-moto
Avec toute une équipe dans l’ombre, au service du pilote, une somme de compétences, symbole du responsable client avec derrière lui, l’équipe. L’équipe est un tout, une unité. Les victoires ET les défaites sont collectives.
On pourrait aussi s’associer au rugby avec des règles très contraintes, donc un milieu très contraint également et qui nécessite de s’organiser en équipe. Les uns travaillent pour les autres avec des rôles très différents et très identifiés : les gros devant, ceux qui courent vite sur le côté et les malins sournois au milieu. Ah, et on aime aussi pas mal le symbole du marathon, pour son aspect endurance.
Si YDNU était un film, ce serait : MATRIX
Accepter de faire un pas dans le noir. En étant dans Matrix, vous pensez qu’il serait bien de prendre la pilule rouge et d’alterner parfois avec la bleue. La pilule bleue est celle de la certitude (zone de confort, tu connais la fin, tu déroules ton truc, tu fais du copier-coller, tu es entre deux bornes, sans satisfaction, tu t’emm…). Nous, on a fait le choix de la pilule rouge plutôt que de gober la pilule bleue, qui correspond alors à aller servir de grands groupes et se faire beaucoup d’argent. On s’est lancé dans l’aventure plus incertaine des structures de taille moyenne.
Nous avons fait le choix de sortir de notre zone de confort et ceux qui nous rejoignent doivent le faire en conscience… On a aucune idée de quelle solution mettre en place à l’avance. Le client peut changer d’avis. Le consultant est en lien direct avec les collaborateurs et non avec les strates managériales typiques aux grandes entreprises. Enfin, l’hétérogénéité des sujets exige une curiosité et une adaptabilité d’esprit et d’action.
Si YDNU était un personnage célèbre, ce serait : Simone VEIL
Parce qu’elle est “rock” et qu’elle notamment a dû faire face et su convaincre 563 mâles blancs de 70 ans pour dépénaliser l’IVG. C’est une femme de conviction. Elle aussi est sortie de sa zone de confort. Elle était visionnaire sur les besoins de la société. Elle a une extraordinaire capacité de résilience. Elle a contribué à la construction de l’Europe. Elle est un peu la synthèse de nos différentes facettes !