Vous connaissez le cliché du consultant : celui qui donne des leçons sur ce qu’il faut faire, sans les appliquer lui-même !
Pourtant, loin des idées reçues, le consultant fait partie des acteurs clés de très nombreuses organisations. Il peut être un juge de paix en cas de crispations inextricables, il peut apporter un regard extérieur sur une problématique complexe, il peut aussi accompagner la mise en œuvre d’une nouvelle politique, norme ou technologie, ou tout simplement apporter expertise et conseils. Bref, un rôle multifacette, transversal et souvent pluridisciplinaire.
Or, on voit toujours le consultant comme un solutionneur de problèmes. Le fameux pompier de service qui tente d’éteindre l’incendie avant qu’il ne se propage partout. Seulement, les pompiers aussi font de la prévention et de la sensibilisation.
Alors, avez-vous vraiment besoin d’un consultant quand tout va bien ?
Il peut vous aider à anticiper un problème
Le consultant c’est un peu comme votre meilleur ami.
Celui qui accepte de ne pas avoir de vos nouvelles pendant de longs mois, mais qui ne s’en offusque pas et décrochera sans arrière-pensée dès la première sonnerie. Celui capable de vous dépanner un vendredi soir à 20 heures parce que vous avez un problème ou une question. Enfin, c’est aussi celui qui ne juge pas, qui prête une oreille attentive et qui est capable de faire preuve d’écoute.
Un consultant n’a pas besoin d’être dans vos locaux 40 heures par semaine.
En revanche, il peut être joignable en tout temps pour répondre à une question précise, faire des recherches et intervenir avant qu’un problème n’apparaisse.
Vous avez un doute sur une problématique ? Vous avez une crainte sur un projet ? Un de vos collaborateurs a levé un “red flag” lors de votre dernière réunion de débriefing ? Ne cherchez pas la solution sur Google : appelez-le !
En quelques minutes, il sera capable de vous aiguiller dans une direction qui vous fera éviter les embûches.
Il vous aide à y voir plus clair
Si vous êtes englué dans la lecture ou la rédaction d’un cahier des charges indigestes, si vous êtes trop impliqué personnellement dans une situation particulière ou si vous avez le sentiment de perdre du temps dans des projets dont la courbe d’apprentissage est trop importante ou dont vos compétences ne coïncident pas, le consultant pourrait être votre meilleur atout.
La prise de recul est une qualité indéniable qui peut être difficile à se révéler dans des situations complexes. En reprenant les bases, en posant les bonnes questions et en ayant un regard extérieur, le consultant est capable de vous faire gagner du temps – donc de l’argent – et d’optimiser votre efficacité.
Vous la voyez la lumière au bout du tunnel ?
Il accompagne le changement
Dans le mot transformation digitale, il y a “transformation”. Or, se transformer implique d’abandonner des situations de confort pour aller dans une direction inconnue. Que ce soit au niveau technologique ou humain, le consultant est aussi un tiers de confiance, relativement neutre et objectif, qui accompagne la gestion du changement.
En partageant les bonnes pratiques en vigueur dans votre industrie ou votre secteur d’activité, en explorant des options nouvelles et en proposant des plans échelonnés selon des phases bien organisées, la gestion du changement s’effectue en souplesse. Il répond aux questions, il anticipe les inquiétudes et évite les frustrations.
Le consultant faite partie intégrante de votre équipe.
C’est votre collaborateur 2.0 en quelque sorte. Un statut qui lui confère de nombreux avantages : objectivité, rationalité, vision, prise de recul, neutralité, expertises…
Son champ d’intervention est d’ailleurs très large. Il ne travaille pas uniquement avec vous et vos équipes, mais aussi avec votre direction.
Votre patron a du mal à se décider sur un projet stratégique ? Le comité de direction ou le comité d’exploitation a besoin d’une formation ou d’une remise à niveau sur une question précise ou une thématique qu’ils ne maîtrisent pas ? Le consultant peut alors intervenir au niveau exécutif pour mettre de l’huile dans les rouages et apporter une nouvelle dynamique.
Inutile d’attendre que la moitié de la ville brûle pour appeler les pompiers.
Si la prévention ne peut pas régler tous les problèmes, dès les premières fumées et les premiers signaux de votre détecteur interne, appelez du renfort. Il sera toujours plus facile et moins coûteux de maîtriser un départ de feu avec un extincteur que de mobiliser trois casernes et deux Canadair !
Cet article vous a plu ? N’hésitez pas à nous contacter pour connaître notre concept et en savoir plus sur notre offre de consulting par abonnement.