Passée par la compta’ et le marketing, notre consultante Salesforce Lucie Sejot a de nombreuses compétences à son actif et ne compte pas s’arrêter là. Discrètement ambitieuse, elle s’empare du Conseil avec autant de motivation que de sagesse… Portrait.
Quel a été ton parcours avant de rejoindre les rangs de You Don’t Need Us ?
Après mon baccalauréat, je me suis orientée vers une Licence en Gestion Economie et Comptabilité. Secteur qui me plaît toujours, mais après avoir mûrement réfléchi et pratiqué au-cours d’un stage, j’ai compris que ce métier ne correspondait pas au type de stimulations ou de missions que je recherchais. Je me suis donc dirigée vers un Master en Marketing Digital, un univers un peu plus polyvalent, aux tâches moins redondantes et qui répondait donc bien mieux à mes ambitions. Un peu par hasard, ce Master incluait dans son cursus des cours de programmation – cours qui m’ont beaucoup plu, ont donc influencé mes recherches d’emploi et m’ont notamment poussée à m’inscrire à une formation Salesforce.
Quel est aujourd’hui ton métier ?
La formation a porté ses fruits et je suis maintenant Consultante technico-fonctionnelle Salesforce chez You Don’t Need Us aux côtés de Marguerite et Yassine, notamment. J’ai travaillé pour l’instant sur des tâches concernant la mise en place de Flows, des projets et atelier d’analyses de besoins clients, et autres missions qui m’ont permis jusqu’ici de bien comprendre le métier me permettant d’avancer vers des tâches plus complexes.
Quelles sont tes ambitions vis-à-vis de ton rôle ?
Pour être honnête, je me laisse pour l’instant porter, je ne souhaite pas me fermer à toute opportunité, donc je continue d’en apprendre plus sur Salesforce et les métiers qui l’entourent. J’aimerais un jour occuper un poste de Cheffe de projet et, parallèlement, je suis pas mal intéressée par le développement que je pourrais mettre à profit dans Salesforce.
À part spontanée et plutôt ambitieuse, comment résumerais-tu ta personnalité, en 3 mots ?
Je suis plutôt de nature discrète et pas vraiment du style à me mettre en avant, je prends mon temps pour me révéler. En revanche, quand je me lance, je suis une personne joyeuse, qui aime la vie et s’amuser, profiter de son temps et de ses journées. Enfin, je suis aussi très curieuse. Découvrir de nouvelles choses et de nouvelles personnes est une grande source de satisfaction pour moi.
Et si tu étais une super-héroïne, quel serait ton pouvoir ?
Un des premiers pouvoirs qui me vient à l’esprit, c’est la capacité de parler aux animaux. J’ai grandi avec eux et je n’imagine pas passer un instant de ma vie présente et future sans eux. J’ai d’ailleurs un rêve, qui est d’avoir un refuge, ou du moins de recueillir des animaux abandonnés ou blessés. Si je pouvais leur parler, je leur ferais comprendre que tout va bien, qu’ils sont en sécurité dans mon refuge. Ce qui participe à construire mon bonheur, c’est tout simplement d’avoir ces petites boules de poils dans ma vie.
Quel est l’aspect qui te plaît le plus, chez YDNU ?
Les personnes, le mental, la façon d’être de chacun de mes collègues. La team n’est pas seulement axée sur les résultats, elle est aussi concentrée sur la satisfaction globale des clients et encourage chaque collaborateur à monter en compétences, à embrasser les challenges, faire des erreurs et en apprendre.
D’ailleurs, ça te plaît le challenge ? Où tu es plutôt « routine » ?
Ça ne me plaît pas forcément dans le sens où je ne suis pas une grande compétitrice dans l’âme. Cela dit, faire toujours la même chose devient vite redondant, comme en ‘compta’ par exemple où j’avais l’impression de devenir une machine. Je dirais donc que je ne suis pas forcément à la recherche de challenge mais j’aime la diversité des tâches, l’apprentissage de nouveaux concepts, la polyvalence des compétences. Je suis plutôt satisfaite de ce côté-là, il y a une bonne pédagogie chez YDNU.
Que dirais-tu donc à quelqu’un qui souhaite rejoindre l’aventure ?
Fonce! Tu y trouveras un poste où l’on apprend tous les jours et où l’on peut vraiment évoluer et découvrir divers clients, secteurs et missions. Tu auras des formations sur les best practices, accumuleras de nouvelles connaissances et ne t’inquiètes pas, si tu stresses ou rencontre un obstacle, on est là pour t’aiguiller, t’aider à avancer et célébrer tes réussites.
Qu’est-ce que tu changerais chez YDNU ?
Je vote pour davantage de petits déjeuners d’équipe, pour se retrouver, apprendre à mieux se connaître encore et renforcer l’esprit d’équipe.
Parmi les 5 principes d’actions suivants (oser la différence, faire confiance, innover sous la contrainte, favoriser la performance durable, exulter en groupe), quel est celui qui te parle le plus et pourquoi ?
Je dirais faire confiance parce qu’humainement parlant, c’est vital! La confiance est à la base des relations, du partage. Elle engendre énormément de choses essentielles autant dans la vie perso que pro. Au travail notamment, elle permet de prouver nos qualités, d’apprécier les qualités des autres mais aussi de révéler un peu nos défauts, ou du moins que l’on a conscience de nos points faibles et que l’on travaille à les surpasser. Faire confiance, d’ailleurs, c’est faire confiance aux autres ainsi qu’à soi-même, en ses compétences à faire ou à refaire.
Dans une organisation où la confiance est loin de régner, comment on devrait implémenter ce principe, selon toi ?
Tout d’abord, je n’aurais pas du tout envie d’être dans cette entreprise! Mais si je devais y être, je pense que la meilleure chose à faire est de mener par l’exemple et être transparente sur l’état des choses. Je me confierai déjà sur mon ressenti, sur ce qu’il y aurait à changer et, peut-être que je me prendrais des claques, mais faire confiance en premier, engendrer ce premier pas pour que la notion même basique de la confiance ça se propage, est un acte pionnier, courageux et nécessaire. L’idée est de construire un cadre rassurant pour encourager les échanges et s’assurer que tout le monde aille et soit d’accord pour aller dans une même direction.
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